Dans les détours de la vie sinueuse se dévoile parfois l'histoire d'Ishtar aux coeurs nus.
Souvent le soir, quand l'esprit s'égare pour fuir les douleurs éparses, le murmure d'Inanna se fait conte réconfortant.
Alors les habits de chagrins tombent à nos pieds.
La chair libérée se réchauffe d'amour, intimes étreintes dans les huit bras de la déesse...
Oraison de l'infini horizon.
Ô raison couchée qui doit se couvrir de douces folies.
Don/Doc Garano
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