Suppliciés des jours, qui attendent la nuit pour peut-être guérir.
Soldats de journées qui s'égrènent dans le sablier sans fond.
Les fissures endurées se colmatent par l'abandon, pas le fait de baisser les bras comme un couard, juste que ces extensions énervées deviennent le coussin de solutions à venir.
La nuit porte conseil, et le fait de baisser les bras devant elle rappele nos ailes.
Tes bras sont les cousins de tes ailes, décolérés ils épousent ton corps pour fraterniser avec les envollées espérées.
Bien baisser les bras de nuit baisent les problèmes à venir...
A l'heure du dodo, place-toi sur le dos, bras contre tronc et évacue ta tension vers le sol, minutes subites qui récompenseront cet abandon par la réconciliation avec ton DO-dos...
Bras baissés, ailes élevées.
Les maux,tels des chambres temporaires, en attente de ce haut,tel l'Eden.
Ton dos mène à toi, ton domaine à toi!
La bonne partition des jours commence toujours par le
Do, base de ton sol,fais-je, ou pas?
A ceux qui décodent en déconnant, le Don vous salue!
Don/Doc Garano
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